Si Exister est un fait, Vivre est un art et Manager aussi...!

Oui c'est bien très exactement cela :

1) Il est plus difficile mais plus beau d'éclairer les autres avec humilité et il est plus facile de briller seulement mais au détriment des autres avec autorité.

Cela interroge également :

2) Le pouvoir et les responsabilités :

Lorsque l’on donne du pouvoir et des responsabilités a une personne qui n’a pas les compétences ou les qualités humaines requises. Cela positionne cette personne dans une situation d’euphorie, dans laquelle elle occupe tout l’espace disponible et elle empêche les autres de respirer et de s’épanouir.

3) La tolérance et le goût des autres :

Du comportement des autres lorsqu’il est différent du nôtre. Cela pose un certain nombre de question sur nous-même et nos références :

• Pourquoi ce comportement des autres m’agresse-t-il ?

• Pourquoi mon seuil de tolérance est-il mis à l’épreuve ?

Cela interroge donc notre norme et notre modèle :

• Sur quelle norme et sur quel modèle repose ma tolérance ?

• Notre modèle [patriarcal (virile/machiste/raciste) ou matriarcal (castrateur/chipie/toxique)] constitue-t-il toujours la meilleure des normes, la meilleure des références ? N’est-il pas devenu une peu vieillot ?

Voici donc la frontière entre humanisation et déshumanisation :

Face aux capacités de déshumanisation, l'esprit/génie humain doit avoir chevillé au corps, un humanisme bienveillant. Car les gens s'adaptent à leur public et en particulier à leur gouvernance : 
- Si vous leur apportez l'incompétence et le mépris, ils vous rendront du mépris et de la colère et vous devrez donc faire preuve d'autorité patriarcale (virile, machiste, raciste) ou matriarcale (castratrice, toxique, totalitaire, bref « Chipie »), un vrai constat d'échec dans une déshumanisation mutuelle ;
- Si vous leur apportez la compétence et la bienveillance, ils vous rendront cette grande joie de la confiance, un vrai constat de réussite, dans une humanisation mutuelle.

Bien à vous